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on Project, Program and Portfolio Management |
By: | Fletcher, Denise; Knol, Erik; Janicki, Marcin |
Abstract: | The Energy2B Project is an EU funded innovation stimulating initiative that targets university students at five universities across Europe and encourages them to practice environmental entrepreneurship and turn energy innovation ideas into new business start-ups. The project is administered by a European consortium of commercial and academic co-ordinators through an online web platform. The web-platform is used to develop an energy infrastructure that connects diverse stakeholders (including industrial actors, energy bodies and field experts) through the administration of local idea challenges and energy innovation competitions at a local and European level. In this paper, we discuss how the project contributes to the practice of environmental entrepreneurship and explain the projects theoretical significance as a case of institutional entrepreneurship. We also outline the academic deliverables of the project in terms of individual case studies and a survey that measures the project’s effectiveness in accelerating the practice of environmental entrepreneurship. First results are available in the second quarter of 2011. |
Keywords: | environmental entrepreneurship; sustainable entrepreneurship; institutional entrepreneurship |
JEL: | I21 Q01 L26 |
Date: | 2010–11–08 |
URL: | http://d.repec.org/n?u=RePEc:pra:mprapa:31361&r=ppm |
By: | Berangere Szostak (COACTIS - Université Lumière - Lyon II : EA4161 - Université Jean Monnet - Saint-Etienne); William Dhuyvetter (COACTIS - Université Lumière - Lyon II : EA4161 - Université Jean Monnet - Saint-Etienne); Gaëlle Dechamp (COACTIS - Université Lumière - Lyon II : EA4161 - Université Jean Monnet - Saint-Etienne) |
Abstract: | Cet article traite de l'impact du dirigeant de PME sur l'intégration du design dans la stratégie d'innovation et de créativité des entreprises du territoire ligérien. Par créativité, les chercheurs entendent " un processus menant à la proposition et au développement d'idées nouvelles et potentiellement utiles pour l'organisation " (Léonard et Swap, 1999). Or, les caractéristiques de la PME, telles que les ressources limitées, la personnification de l'entreprise autour de son dirigeant, ainsi que des études empiriques menées par les auteurs conduisent à une conclusion à valider : l'intégration du design dans une PME dépend de la perception que le dirigeant a du design comme une discipline créative professionnelle et aussi de la représentation du designer. La première partie construit cette assertion à partir de la littérature sur la créativité en PME, puis avance 4 hypothèses. La deuxième partie présente la recherche statistique menée auprès de 100 dirigeants de PME de la Loire. Le design peut s'appréhender selon 3 perspectives qui se combinent et s'interpénètrent : il a une fonction ingénierique, dans la mesure où il permet de valoriser les fonctions d'un produit. Il opère également comme instrument de différenciation dans la stratégie conduite par les firmes. Enfin, le design exprime un certain nombre de valeurs artistiques. Les résultats indiquent que plus le dirigeant est ouvert aux valeurs ingénieriques portées par le design, perçu comme un élément de valorisation des fonctions du produit, plus il intègre le design. Les valeurs ingéniériques du design jouent donc un rôle clé dans son intégration au sein de la PME. De même, concernant les valeurs stratégiques véhiculées par le design, nous pouvons affirmer que plus le dirigeant est ouvert à ces valeurs, plus il intègre le design. En outre, plus un dirigeant perçoit le design à travers ses valeurs artistiques, moins il intègre cette discipline dans sa stratégie. Enfin, plus un dirigeant est prêt à laisser de la liberté créative au designer sur le projet, les idées et la technique, moins il intègre le design. La dernière partie suggère de nouvelles pistes de recherche mais aussi des directions managériales pertinentes pour des instances étatiques amenées à encourager la créativité en PME. |
Keywords: | Innovation (Créativité organisationnelle), PME, Top management, méthode statistique |
Date: | 2011–06–07 |
URL: | http://d.repec.org/n?u=RePEc:hal:journl:hal-00598253&r=ppm |
By: | Paul A. David (Department of Economics, Stanford University) |
Abstract: | There are three analytically distinct layers of the phenomenon that has been labeled “the anticommons” and indicted as a potential impediment to innovation resulting from patenting and enforcement of IPR obtained on academic research results. This paper distinguishes among “search costs”, “transactions costs”, and “multiple marginalization” effects in the pricing of licenses for commercial use of IP, and examines the distinctive resource allocation problems arising from each when exclusion rights over research inputs are distributed among independent owners. Where information use-rights are gross complements (either in production or consumption), multiple marginalization—seen here to be the core of the “anticommons” – is likely to result in extreme forms of “royalty stacking” that can pose serious impediments to R&D projects. The practical consequences, particularly for exploratory scientific research (contrasted with commercially-oriented R&D) are seen from a heuristic analysis of the effects of distributed ownership of scientific and technical database rights. A case is presented for the contractual construction of “research resource commons” designed as efficient IPR pools, as the preferable response to the anticommons. Creation Date: 2011-05 Revision Date: |
Keywords: | law and economics, IPR, licensing, anticommons, patent hold-ups, royalty stacking, database rights, contractual commons, efficient pools |
JEL: | L24 O31 O34 O38 |
URL: | http://d.repec.org/n?u=RePEc:sip:dpaper:10-030&r=ppm |