By: |
Amon Aniké DEH (UASZ - Université Assane Seck de Ziguinchor [Sénégal]);
Ndeye Paane KHOUMA (UCAD - Université Cheikh Anta Diop de Dakar [Sénégal]) |
Abstract: |
The purpose of this article is to study the determinants of the financial
performance of MFIs in Senegal and Côte d'Ivoire, using the institutionalist
approach. Our epistemological posture is positivism with a
hypothetico-deductive reasoning and a quantitative approach. The data come
from the BCEAO database and cover a sample of nineteen (19) MFIs during the
periods from 2016 to 2019. The results of the compound error model show that
size, 12_24 month portfolio at risk, capital structure, liquidity, and Doing
Business index have a significant influence on the financial performance of
MFIs. However, robustness tests with quantile regression at the three
distribution thresholds (25%, 50%, and 75%) show that only the MFI's size, its
12-24 month PAR, and its creditworthiness have a significant impact on its
financial performance. The knowledge of these factors could be useful to the
managers of these MFIs in the adoption of strategies to ensure good financial
viability, which is a guarantee of their sustainability and indispensable to
ensure their social mission effectively. |
Abstract: |
L'objet de cet article est en embrassant l'approche des institutionnalistes,
d'étudier les déterminants de la performance financière des IMF au Sénégal et
en Côte d'Ivoire. Notre posture épistémologique est le positivisme avec un
raisonnement hypothético-déductif et une démarche quantitative. Les données
proviennent de la base de données de la BCEAO et portent sur un échantillon de
Dix-neuf (19) IMF durant les périodes de 2016 à 2019. Les résultats du modèle
à erreurs composées montrent que la taille, le portefeuille à risque 12-24
mois, la structure du capital, la liquidité et l'indice Doing Business ont une
influence significative sur la performance financière des IMF. Toutefois, les
tests de robustesse avec la régression quantile aux trois seuils de
distribution (25%, 50% et 75%), montrent que seules la taille de l'IMF, son
PAR 12-24 mois et son degré de solvabilité ont un impact significatif sur
cette performance financière. La connaissance de ces facteurs pourrait être
utile aux managers de ces IMF dans l'adoption de stratégies permettant
d'assurer une bonne viabilité financière, gage de leur pérennité et
indispensable pour assurer efficacement leur mission sociale. |
Keywords: |
Microfinance, Financial performance, Social performance, WAEMU, Regression, Performance financière, Performance sociale, UEMOA, Régression |
Date: |
2023–07–03 |
URL: |
http://d.repec.org/n?u=RePEc:hal:journl:hal-04363597&r=mfd |