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on Knowledge Management and Knowledge Economy |
Issue of 2018‒12‒10
three papers chosen by Laura Ştefănescu Centrul European de Studii Manageriale în Administrarea Afacerilor |
By: | Stephen Oluwatobi (Covenant University, Ota, Ogun State, Nigeria); Isaiah Olurinola (Covenant University, Ota, Ogun State, Nigeria); Philip Alege (Covenant University, Ota, Ogun State, Nigeria); Adeyemi Ogundipe (Covenant University, Ota, Ogun State, Nigeria) |
Abstract: | The experience of South Korea, India, China and Singapore reveals that developing economies can fasttrack development, leapfrog the stages of development and catch up with advanced economies by putting knowledge capital as the driver of development. If the knowledge economy is therefore an accelerant of development for both advanced and developing economies, it is possible for Sub-Saharan African (SSA) economies to also catch up with advanced economies. It was on this basis that this study assessed the knowledge capacity of SSA and the effect it has on its economic advancement. Given the importance of the interrelatedness among the knowledge economy elements, this study, thus, examined how the interaction effect between the elements of the knowledge economy affects economic growth in 32 SSA countries, for which data were available, over the period of 17 years (1996-2012). Using the System Generalized Method of Moments (SGMM), the study found out that institutions and human capital in SSA mitigate the effect of innovation on economic growth in the region, thus, making it a lean knowledge economy. |
Keywords: | Economic Growth; Human Capital; ICT; Innovation; Institutions; Knowledge Economy |
JEL: | O10 O30 O38 O55 O57 |
Date: | 2018–01 |
URL: | http://d.repec.org/n?u=RePEc:afe:wpaper:18/025&r=knm |
By: | Simplice A. Asongu (University of Cape Town, Cape Town, South Africa); Vanessa S. Tchamyou (University of Antwerp, Belgium) |
Abstract: | This article compares African countries to South Korea in terms of knowledge economy (KE). Emphasis is laid on human capital, knowledge creation, knowledge diffusion, institutions and economic incentives. The analytical approach consists of providing knowledge economy catch-up strategies that can be understood within the context of country-specific gaps between the frontier country in KE and laggard African countries. The empirical evidence is based on sigma convergence with data for the period 1996-2010. Overall, a KE diagnosis is provided by assessing KE gaps (between South Korea and specific-African countries) and suggesting compelling catch-up strategies with which to reduce identified gaps. Contemporary and non-contemporary policies from South Korea and more contemporary policies based on challenges of globalisation are discussed. The policy relevance of this inquiry aligns with the scholarly perspective that catch-up between South Korea and more advanced economies was accelerated by the former adapting to and assimilating relatively obsolete technological know-how from more developed nations. |
Keywords: | Knowledge economy; Benchmarks; Policy syndromes; Catch-up; Africa |
JEL: | O10 O30 O38 O55 O57 |
Date: | 2018–01 |
URL: | http://d.repec.org/n?u=RePEc:afe:wpaper:18/007&r=knm |
By: | Eric Heyer (Observatoire français des conjonctures économiques); Xavier Timbeau (Observatoire français des conjonctures économiques) |
Abstract: | Les informations statistiques pour le premier semestre 2018 indiquent un essoufflement de la croissance économique mondiale. Ce ralentissement coïncide avec de nombreuses tensions politiques et financières – dont le Brexit, le risque de guerre commerciale ou encore les tensions autour du budget italien pour 2019. Après un pic à 3,5 % en 2017, la croissance mondiale diminuerait de 3,4 à 3,1 % entre 2018 et 2020. Le ralentissement sera plus marqué dans les pays industrialisés où la croissance baissera de 0,8 point entre 2017 et 2020. L'économie française a affiché des résultats décevants au premier semestre 2018, ce qui alimente les inquiétudes sur la pérennité de l'embellie conjoncturelle observée à la suite de six années de croissance très faible (0,8 % en moyenne annuelle). Le ralentissement est en partie commun à la zone euro, découlant de la hausse des prix du pétrole et de la dégradation de l'environnement international. À cela s'ajoute en France un calendrier fiscal défavorable au premier semestre 2018, l'impact des grèves au deuxième trimestre 2018 et une moindre consommation en énergie due à un printemps exceptionnellement doux. Au second semestre 2018, du fait des mesures fiscales (baisse des cotisations sociales salariées, première tranche de la suppression de la taxe d'habitation), le pouvoir d'achat des ménages devrait augmenter fortement. Ainsi, la croissance rebondirait à 0,5 % au troisième trimestre 2018 et 0,6 % au quatrième trimestre. La croissance pour l'année 2018 serait alors de 1,7 % en moyenne. En 2019, la croissance du PIB atteindrait 1,8 %, soutenue par un revenu des ménages dynamique, favorisé par le soutien des mesures fiscales aux classes moyennes, une hausse des revenus du capital et une dynamique de l'investissement toujours robuste, tirée par les entreprises et les administrations publiques. Avec une croissance du PIB de 1,5 %, l'année 2020 serait celle du retour progressif vers le potentiel de long terme. L'impact global de la politique budgétaire serait légèrement négatif et la demande adressée à la France ralentirait en lien avec le retournement du cycle mondial. L'écart de production passerait de -1,0 % en 2018 à -0,5 % en 2019 et à -0,3 % en 2020. La période 2017-2019 se caractérise par une légère dégradation du déficit public (-0,1 point de PIB) malgré une augmentation de l'effort structurel (+0,2 point de PIB) et une amélioration marquée du déficit conjoncturel (+0,5 point de PIB). C'est le versement exceptionnel en 2019 de près de 22 milliards d'euros (0,9 point de PIB) aux entreprises dans le cadre de la transformation du CICE en baisse de cotisations sociales patronales qui explique la différence. En 2020, le déficit public se réduirait à 1,8 point de PIB, soit son plus bas niveau depuis près de vingt ans. La dette publique atteindrait 98,7 % du PIB en 2018 (après 98,5 % en 2017) avant d'amorcer sa réduction, à 98,3 % en 2019 et 97,8 % en 2020. Enfin, le taux de chômage passerait de 9,1 % actuellement à 8,9 % fin 2018, 8,7 % fin 2019 et 8,6 % fin 2020, la baisse étant ralentie par la réduction des contrats aidés. |
Keywords: | Croissance; PIB; Economie mondiale; Petrole; Politique budgétaire; Fiscalité |
Date: | 2018–10 |
URL: | http://d.repec.org/n?u=RePEc:spo:wpmain:info:hdl:2441/3a96ara9d9199bj926k58fbkf&r=knm |